Hello tout le monde,
Et oui, la fin du week-end approche à grands pas. Comme tous les dimanches c’est le rendez-vous hebdomadaire avec les premières lignes (rendez-vous initié par Ma Lecturothèque). Le principe reste inchangé : on prend un livre et on en cite les premières lignes.
Cette semaine, j’ai choisi un recueil de nouvelles d’Anna Gavalda paru en 1999. Il s’agit de Je voudrais que quelqu’un m’attende quelque part. J’ai lu ce livre il y a plusieurs années et je pense que c’est l’un des premiers livre que j’ai aimé lire. Je me souviens encore de l’endroit où je l’avais acheté : le point presse de la gare de l’Est. J’avais longtemps hésité entre plusieurs magazines féminins et puis je me suis tournée vers les livre de poche. J’ai été attirée par la couverture et j’avais donc trouvé un compagnon pour me faire passer plus rapidement les 1h30 de trajet qui m’attendaient.
Ce recueil est composé de douze nouvelles dont les personnages sont pleins d’espoirs, futiles ou de désespoir grave. On les croise tous les jours sans leur prêter attention, sans se rendre compte de la charge d’émotion qu’ils transportent.Ce sont juste des tranches de vie.
Voici les premières lignes :
Petites pratiques Germanopratines
Mais gardez vos réflexions pour vous et écoutez moi car mon petit doigt me dit que cette histoire va vous amuser.
Je sais que vous adorez ça. C’est normal, vous ne pouvez quand même pas lire des romans Harlequin attablé chez Lipp ou aux Deux Magots. Évidemment que non. Vous ne pouvez pas.